
mardi 29 avril 2008
Un œil noir te regarde… l’euphorbe characias

samedi 26 avril 2008
Les houppettes étranges du fothergilla major

vendredi 25 avril 2008
La tulipe Spring green la bien nommée

lundi 21 avril 2008
L’amélanchier : à vilain nom, bel arbuste

vendredi 18 avril 2008
Etats d'âme

dimanche 13 avril 2008
Le géranium phaeum

mercredi 9 avril 2008
Déjà ! Le rosier chinensis mutabilis est en fleurs

mardi 8 avril 2008
Pourquoi je les aime

Il en existe de très différents, créant à eux seuls des ambiances raffinées ou s’associant parfaitement avec d’autres vivaces (à l’ombre ou mi ombre, en sol sec ou maintenu frais par un paillis, selon les variétés). J’ai remarqué que cette plante ne laisse personne insensible. Elle suscite la curiosité à toutes les saisons.

Ne pas se laisser décevoir la première année : il leur faut ce temps pour commencer à s’installer. Ensuite les touffes s’étalent sans souci et sans contrainte. Seuls les «miniatures», peut-être plus fragiles (?) semblent parfois à la peine (e.x youngianum). Les épimédiums font de jolies bordures ou un couvre-sol dense à toute épreuve. Persistants ou caducs, la plupart gardent les feuilles de l’année précédente jusqu’aux nouvelles. Je les conserve contrairement à ce qu’il est parfois conseillé : tout raser certes fait ressortir les fleurs mais, à mon avis, sur un tapis brosse….

L’épimédium pauciflorum
Très gracieux, l’Epimédium grandiflorum (caduc) existe en variétés aux tons nuancés (album, Rose queen, Lilafee). Son feuillage vire au brun pourpre en automne. Plusieurs persistants sont aussi distingués : E.pubigerum (des fleurs en minuscules perles blanc crème rosé), E.pauciflorum (rose violine très pâle, un bon couvre-sol), E. warleyense (orange doux et lumineux). Et d’autres encore…Quel choix !
L’épimédium warleyense
samedi 5 avril 2008
Faire son jardin : par où commencer ?(suite)
Par regarder autour de soi : Le paysage… en ville ou à la campagne… que veut-on, se transporter dans un autre univers dès le portillon franchi ou se glisser dans un paysage admiré et délibérément choisi ? Regarder en l’air les arbres et les plantes qui prospèrent et donnent du caractère, ceux qui sont en place… depuis longtemps, même restés à l’abandon, et qui pourront (une fois repris, taillés, régénérés) contribuer à l’ossature du jardin, créer des perspectives, asseoir l’échelle ou donner de la maturité… en attendant. Ceux que l’on va planter (arbres et arbustes) atteindront leur meilleure forme au plus tôt dans cinq ans. Pour certains beaucoup plus, souvent les plus beaux. Regarder aussi le nez au sol les plantules et semis spontanés apportés par le vent ou les oiseaux.
Les espèces réparties dans les différents coins du jardin renseignent précisément sur l’humidité ou la sécheresse du sol, sa nature plus ou moins acide (ou non)…et peut être source d’inspiration. "Craquant" sur cette mignonne euphorbe spontanée ... j’ai choisi d’introduire ici les grandes et belles euphorbes.

vendredi 4 avril 2008

mardi 1 avril 2008
Plus blanc que blanc

Pour se guider trois livres épatants : Pénélope Hobhouse «Les couleurs de votre jardin» (éd.Nathan), Mary Keen «Le jardin et
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