Les tailles de haies et d’arbustes ont commencé tardivement cette année. Les premières chaleurs très précoces en avril et les pluies intenses de ce printemps les avaient tous "boostés". Avec (encore) la pluie et la fraîcheur de cet été la pousse de printemps …s'est prolongée, prolongée…Certaines plantes ont étonné par une luxuriance inconnue jusqu’alors (on culpabilise, on promet d’y faire plus attention et de les arroser un tant soit peu à l’avenir…). Mais pour les végétaux taillés en formes…ou pour continuer à passer dans l’allée entre les lauriers du Portugal plantés en brise-vent, il était plus que temps d’intervenir. Les persistants sont à tailler maintenant sans attendre le froid et l'hiver (contrairement aux caducs. Oui me direz-vous, et la taille en vert? On en parlera une autre fois!).
Depuis l’année dernière plus aucune crainte d’être envahie par les monceaux de branches et de feuillages ! J’ai découvert avec bonheur…le broyeur de végétaux. La démonstration que m’en a faite une valeureuse jardinière m’a convaincue en moins de deux minutes. Cette petite machine change la vie. Je recommande d’en prendre une relativement puissante (2500w), à rouleaux et silencieuse (82/96dB). Leur prix a nettement baissé. Finies les précautions d’horaires et de sens du vent pour brûler au fond du jardin sans incommoder les voisins, les navettes incessantes à la déchetterie ou les fastidieuses découpes, armée du coupe-branche et du sécateur. Aussitôt broyé, j’étale le matériau en paillis ou j’alimente le compost. Quasi terminée aussi la corvée de désherbage des massifs. Comme dit mon amie Françoise en boutade, « j’adore broyer du vert ! »
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