Est-ce son nom qui rebute ? J’avoue que moi-même après tant d’années j’ai toujours du mal à le mémoriser. Ce grand arbuste embaumait par les fenêtres ouvertes du premier étage l’intérieur de ma vieille maison en vallée du Lot. Qui l’avait autrefois planté là contre le mur ouest? Je ne le connaissais pas auparavant et depuis ne l’avais revu. Jusqu’à ce que je le retrouve au catalogue de Vincent Grellier (Pépinières Botaniques de la Preille).
Originaire de Colchide au sud du Caucase il s’agit en fait d’un arbrisseau très rustique, à planter au soleil dans un sol plutôt frais et perméable. Ses conditions de culture m’ont permis de le planter ici. Je sais que chaque année j’aurai le bonheur de retrouver son exquis parfum d’amande presque enivrant. Les insectes raffolent de ses fleurs en grappes qui sont d’un léger crème nuancé de vert. Et comme il est très florifère l’arbre « bourdonne ».
D’un port élancé il a tendance à s’élargir par des nouvelles tiges partant de la base. Je coupe à ras l’hiver une à deux plus anciennes pour le contenir et le maintenir en forme (dans tous les sens du terme).
1 commentaire:
En recherche de renseignements sur cet arbuste avant sa plantation, je tombe sur un de tes articles :-). Si tu passes encore par ici, tu pourrais m'en dire davantage sur sa taille (hauteur et largeur) et sur l'exposition recommandée ?
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