Impertinents et cocasses, mais plein de talents! Ils ont toujours refusé de fleurir, alors que je je les avais soigneusement plantés au pied d'un rosier Thisbé, au soleil. Se multipliant certes, se développant en feuilles et s'étalant à l'envi.. Et se couchant à la première pluie. (Les chats des voisins visiblement apprécient ce matelas moelleux). Une terre trop riche à cet endroit?
Ailleurs, sur un talus à peine remué l'hiver dernier, les crocosmias sont revenus après des années d'inexistence. Ils fleurissent à merveille cet été avec les persicaria amplexicaule. Une association très lumineuse au jardin comme en bouquet.
mardi 25 août 2009
jeudi 20 août 2009
L'avoir à l'oeil le cétoine doré
Et pas seulement pour admirer les reflets métalliques de sa carapace. Je le tolère ici sur les fines étamines du rosier Queen of the Musks. Mais j'ai depuis longtemps remarqué que sans vergogne il n'hésitait pas à déchirer les pétales des grandes fleurs doubles (particulièrement les blanches) pour arriver à ses fins. Alors je le tiens à l'oeil (autant que je peux...) l'observant en vol (vite reconnaissable, il vrombit comme un bombardier! ) et surtout en l'ôtant des roses Grand Nord ou City of York pour les préserver (les fleurs). Quant au cétoine.... que leur saint patron me pardonne, il m'est arrivé de manquer de clémence. Maintenant je temporise, les déplace doucement, en pure perte pour les roses sans doute.
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