Et pas seulement pour admirer les reflets métalliques de sa carapace. Je le tolère ici sur les fines étamines du rosier Queen of the Musks. Mais j'ai depuis longtemps remarqué que sans vergogne il n'hésitait pas à déchirer les pétales des grandes fleurs doubles (particulièrement les blanches) pour arriver à ses fins. Alors je le tiens à l'oeil (autant que je peux...) l'observant en vol (vite reconnaissable, il vrombit comme un bombardier! ) et surtout en l'ôtant des roses Grand Nord ou City of York pour les préserver (les fleurs). Quant au cétoine.... que leur saint patron me pardonne, il m'est arrivé de manquer de clémence. Maintenant je temporise, les déplace doucement, en pure perte pour les roses sans doute.
3 commentaires:
Cette chère cétoine dorée se régale de pollen et aime tant le soleil ; peut-on lui en vouloir ? !!..
Tant que ce n'est pas l'affluence, je tolère sans problème aussi ici !
Et de surcroît, elle pollinise!
Enregistrer un commentaire