Une rapide remontée des températures (il est temps !) a suffi pour que s’accélèrent en quelques jours la formation des boutons et l’éclosion des floraisons. En petites touches d’abord avant la plénitude. Le « tour du jardin » s’impose chaque jour au moins « pour voir », même si des impératifs vous appellent ailleurs. Les ancolies et les géraniums, les iris… et ces toujours reines, les roses. Je les redécouvre d’une année à l’autre bluffée par leur grâce. Et je me presse de respirer leurs merveilleux parfums, eux jamais oubliés. Visiblement l’apport généreux de nourriture cet hiver leur profite (granulés Bochevo et sang séché). La Pénélope est plantureuse, et d’autres (des pieds de quinze ans…) ont étonnamment grandi. J’avais aussi failli l’hiver dernier supprimer un rosier rugueux à l’étroit maintenant entre des arbustes. En attendant il avait été rabattu sans état d’âme. Le rosier est reparti avec vigueur : il est déjà en fleurs et celles-ci n’ont peut-être jamais été aussi belles.
Un rosier rugosa de chez Delbard disparu depuis longtemps du catalogue.
Une rapide remontée des températures (il est temps !) a suffi pour que s’accélèrent en quelques jours la formation des boutons et l’éclosion des floraisons. En petites touches d’abord avant la plénitude. Le « tour du jardin » s’impose chaque jour au moins « pour voir », même si des impératifs vous appellent ailleurs. Les ancolies et les géraniums, les iris… et ces toujours reines, les roses. Je les redécouvre d’une année à l’autre bluffée par leur grâce. Et je me presse de respirer leurs merveilleux parfums, eux jamais oubliés. Visiblement l’apport généreux de nourriture cet hiver leur profite (granulés Bochevo et sang séché). La Pénélope est plantureuse, et d’autres (des pieds de quinze ans…) ont étonnamment grandi. J’avais aussi failli l’hiver dernier supprimer un rosier rugueux à l’étroit maintenant entre des arbustes. En attendant il avait été rabattu sans état d’âme. Le rosier est reparti avec vigueur : il est déjà en fleurs et celles-ci n’ont peut-être jamais été aussi belles.
Un rosier rugosa de chez Delbard disparu depuis longtemps du catalogue.
5 commentaires:
Pénélope -ton cliché lui rend un superbe hommage- n'est pas encore éclose chez moi mais la multitude de boutons laisse présager une belle saison. Après le rugosa précoce dont le parfum parfait de rose embaume le jardin, c'est Colette, Mutabilis et Albéric Barbier qui semblent vouloir donner le départ de la floraison des rosiers. Ah, j'oubliais mon "bébé" Fimbriata, si petit encore mais déjà très très florifère. Comme toi, je ne cesse de me promener... Je sens que mes pavots d'Orient vont me récompenser de tous les soins prodigués.
Granulé Bochevo, je ne connais pas qu'est ce que c'est? Les rosiers ont l'air d'apprécier.
on ne sait plus où donner de la tête avec toutes les merveilles du mois de mai. Si, en plus, tu les dopes, je veux croire que tes fleurs sont splendides.
Belle journée
Il y a de quoi être grisées...
Plus terre à terre, pour Roselyne, Bochevo est un engrais organique de fumiers passés au compost...de BOvins, CHEvaux, VOlailles... (of course docteur Watson!). Un engrais de fond excellent pour rosiers et autres arbustes, vivaces (à petites doses...) tomates. Pratique (en granulés légers à épandre, juste odorants....eh c'est du fumier!). Avantageux (en sacs de 25kg ou 40kg pour les costauds), vendu dans les coopé. agricoles du grand ouest (et dans des magasins V..parait-il). Fabriqué par l'entreprise Huon. Une valeur sûre que j'utilise fidèlement depuis que O..B..(un précurseur)ait été avalé par un grand groupe "chimique".
Ah ! l'arrivée des roses au jardin ! un moment magique ! tous en fleurs en ce moment... je ne connaissais pas non plus ton BOCHEVO... je m'en vais faire une petite recherche ...
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