Le rosier ancien Ghislaine de Féligonde.
C’est maintenant que l’on reconnait si les rosiers sont bien nourris ou non (sans pour autant les «shooter» constamment aux engrais chimiques agricoles ou dits «spécialisés rosiers»). Ici la distribution une fois par an à l’automne de fumier de cheval en granulés et d’une poignée de sang séché par pied suffit visiblement. Donc à quoi le reconnait-on ? Des fleurs plus grandes (jusqu’au double du diamètre par rapport aux mêmes plantes délaissées), des couleurs plus vives, une pousse vigoureuse et une meilleure résistance du feuillage aux insectes et aux maladies. Des rosiers costauds…si (tout de même) on a pris garde de choisir des variétés solides et sans souci. Le choix est grand, rosiers botaniques, variétés récentes et plusieurs familles parmi les rosiers anciens. De quoi pleinement assouvir sa passion des roses comme le répète le journaliste J.P.Collaert (vous savez, l’auteur du Jardinier paresseux…).
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